Mélangeant intrigues policières, sentimentales et un brin de fantastique, cet auteur espagnol nous entraîne dans son univers sombre dont l’atmosphère pesante et envoutante se retrouve d’un roman à l’autre. Le lecteur est emporté à la suite de jeunes protagonistes pris malgré eux dans un engrenage infernal qu’ils essaient de contrer.
Même si tous les livres se lisent avec plaisir, les deux premiers parus en France L’ombre du vent et Le jeu de l’ange, sont les plus aboutis et les plus captivants. On y plonge corps et âme dès les premières lignes pour ne s’en séparer qu’à regrets à la toute fin.
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Le jeu de l'ange
Dans la Barcelone des années 20, un jeune écrivain tourmenté par la vie accepte l’offre tentatrice d’un mystérieux éditeur. Emporté dans une spirale infernale, il prend peu à peu la mesure de l’être auquel il s’est vendu.
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L'ombre du vent
C’est une histoire « de livres maudits, de l’homme qui les a écrits, d’un personnage qui s’est échappé des pages d’un roman pour le brûler, d’une trahison et d’une amitié perdue. Une histoire d’amour, de haine et de rêves qui vivent dans l’ombre du vent ». Et c’est l’histoire du jeune garçon qui a tiré tout ça de l’oubli…
Une intrigue poignante qui nous plonge dans une sombre Barcelone de l'après-guerre civile.
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Le prisonnier du ciel
Alors que Firmin prépare son mariage, il doit se confronter à son passé sous la forme d’un mystérieux et sinistre inconnu. Il révèle alors à Daniel une sombre période de sa vie au début des années 40, lors de laquelle il a rencontré un certain David Martin…
Ce nouveau volet du cimetière des livres oubliés lie plus étroitement encore les personnages de L’ombre du vent et du Jeu de l’ange.
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Marina
Nous sommes plongés dans un des sombres mystères de l’envoutante Barcelone de Zafon. Un noir secret entouré d’une aura de danger se dessine, mais on ne peut s’empêcher, à l’instar des personnages, de nous y plonger corps et âme.
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Le palais de minuit
Le prince de la brume
Les lumières de septembre