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La vie de Théo bascule le jour où une explosion emporte sa mère. Il est recueilli par une famille bourgeoise new-yorkaise avant que son père ne réapparaisse pour l’emmener à Las Vegas où, livré à lui-même, il fait la connaissance de Boris, adolescent d’origine russe aussi paumé que lui, de l’alcool et de la drogue.
Bref, c’est l’histoire d’un pauvre gosse que la vie n’a pas épargné et qui, livré à lui-même, essaie de s’en sortir. Seul ancrage dans ce monde, un petit tableau de maître qu’il a dérobé, autant source de réconfort que d’ennuis.
On retrouve en partie l’univers énigmatique, sombre, parfois poétique de Donna Tartt, mais on déplore des longueurs qui stoppent l’élan et la lecture. Une centaine de pages de moins n’auraient pas dénaturé le roman, bien au contraire.
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